Sentiment déchut
Vivre ; pour jouir de
savoirs inaccessibles ;
Vivre ? Pour nourrir
mes remords indicibles !
Livre tes démons pour
que débute l’aube ;
Livre :
si ta vie ne veut plus
t’être inconnue.
L’objet de mes torts turent
mes esprits infinis...
Écarteler- mon corps plie
dans l’indéfini -?
Pendu au souffle âcre de
tes larmes
Je pense,
t’avoir mis a nu sans
t’avoir connu.
Il assombrit la
terre nue dévouée aux pâquerettes :
Mais, dans le fond !
Les herbes épineuses fleurissent.
Hisse!
en pouvoir la genèse des
corps mal connus
Ouvrir et suicider ses
angoisses mortifères ,
Rester ! Avec
cette peur - qui flirte proche des
enfers -,
Peur de mourir seule dans
ma prison osseuse,
Je creuse,
de secondes en heures, des
temps méconnus.
Si vous trouvez des fautes d'orthographes, des erreurs de syntaxes qui se trouvent en dehors des poèmes (je crois qu'il ne vous faudra pas trop de temps pour en trouver), etc... ; n'hésitez pas de m'en faire part.