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5 septembre 2008

Invitation à la solitude


- Ne pas ne plus sentir cette main dans les cheveux,

Pour ne souffrir : de ne plus sous peser ce feu,

De n'être que le vent qui ne l'effleure plus.

- L'incurable peur des autres qui converge en flux.


- Tout cela poussent à la cours folle dans le mur.

Muré seul dans un cachot, elle poli un rêve ;

Celui de ne plus sentir cette main qui la crève.

- L'incurable peur des autres qui converge en mur.

 

- Comment croire en l'avenir sans voire son passé?

- La porte de cette prison osseuse... On la mur!

- Comment la pousse, à la cours folle sur le mur,

Perçoit l'incurable peur des autres convergé?

 

- C'est le mal, l'enfer qui doit nous prendre d'assaut

Pour tué la nature du mal-être en nos os 

- Je croit voire passé les sangs de mon avenir!

Je sans mon incurable peur des autres venir.

 

- Tout le monde ne vois pas que je ne suis pas là.

- Personne voit que je suis là, sinon le souffle

Froid du manque. Elle monte simplement comme

Un parfait nulle part où ne pas aller, par là!


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4 septembre 2008

Musiques et poèmes

    J'ai eu envie de mettre les musiques qui m'ont accompagné tous au long de l'écriture d'un poème. Bon je l'avoue, je ne me souvient pas toujours quelle chanson va avec quel poème, mais j'essaierais dans se cas dans mettre une qui transcrit le mieux - pour moi - le poème. Si vous avez des suggestions elles sont les bienvenue (c'est toujours intéressent de voir comment les autres perçoivent ce que l'on a voulu emmètre).

S5004031

3 septembre 2008

Insomnie

Il pleut, le  cliquetis sur  les volets  résonne
comme  la  foudre  divine  sur  les  ailes des anges
qui  tourbillonnent  sur mon  oreiller
qui me tend les bras de la mort  fait
comme si je n'existais,  comme si les elle se venge.
Il peut, le cliquetis sur mes tempes résonne.      



2 septembre 2008

NULLE PART



quelqu'un n'a pas posé sa main sur ma nuque
aussi le manque n'a-t-il pas de visage
il est là simplement comme un toucher froid
un rappel de la parfaite solitude

 

    C'est un poème de Bernard Noël (dans le recueil "Le reste du voyage"). Je ne le connais pas beaucoup mais chaque fois que je le lis, c'est un ravissement. Ce recueil est composé de trois parties qui racontent des voyages, des lieux. Chacun des poèmes restitut  la coexistence entre un regard et un lieu. C'est autant un recueil de poèmes qu'un carnet de voyage, un "lieu" dans lequel il rassemble tout ses "errances".  

1 septembre 2008

Je crains de perdre l'envie (de fuir se qu’est-en moi).

L’étau sur mon cœur semble oublier ça rigueur.
Le sang coule dans mon corps, l’aire effleure mes poumons ;
Eux qui songent a se souvenir de ces douleurs.
Résurgent ces peines! Ce péché nous le voulions!

Triste sort ! De boire dans ses yeux mes déceptions
Sombre ! De ne plus sentir le printemps en Hivers
Honte a moi : d’être dans les filets et les vers
Honte a moi de n’être plus que des émotions

Comment vivre avec le ressentiment des corps
Qui se nourrissent l’un de l’autre par leurs mouvements
Mimant ceux de la marée les soirs de pleines Lune ;
Bois flotté sillonnant le canions du désespoir !

Ô plis toi ! Et cours vaincre les vices qui te rongent ;
Les verrous -une abîme ceinturant mes écarts-
Laisse le néant envahir l’esprit trituré ;
Cache se déshonneur avec un linceul noirs.

La mort ne m’est plus inconnu (depuis quelle est en moi).

 

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31 août 2008

Invitation au voyage



Un soleil se couche sur une terre connue, l’ennui

Des neiges fondues qui ne laisse que des vallées nues
Appellent, des profondeurs, le retour des ennemis. 
Plus rien ici ne capte les attentions déçues.

Les reflets dans les yeux cachent le froid dans le cœur.
La symphonie, des vertes forêts, sonne le glas
De se chêne millénaire qui entrave la ferveur.

Je parts. Déchaînant se corps lourd amarré là,

Je crois enfin au retour des songes habités.
Sentir l’écume, et le vole des oiseaux. Là-bas !
Je suis se rail, ligne vers une terre inexplorée :

Jeter l’ancre sur cette étendue vierge, libérée
Et graver dans le sable l’empreinte d’un temps figé
Et contempler de fertiles jardins. Les senteurs
Stimulant mes sens, m’accrochent à tous ces bonheurs.
 

30 août 2008

Angoisse


Les péchés tombent sur les épaules de celui qui

Seul, ne peut chasser de ces draps le souvenir
De celle, qui voile, chaque nuit, ces songes maudits.
Implore l’amnésie nocturne pour ne plus souffrir.   

 Les signes, rodant sans cessent d’un vole sombre et pesant,
S’immiscent en moi. Dans mes pensées flétries débarques   
La blancheur désertique de leur voilage sans marque,
Ces
cygnes de mauvaise augures semblent menaçant

J’ai peur de ne plus savoir, peur de ne plus voir,
J’ai peur de ne plus aimer, peur de dévoiler.
Qu’émerge un lourd faisceau, soulevant le rideau.

Les remords, qui me rongent et qui cache mes mensonges,
Soufflent un vent sec, stérile dans ma tête infertile.

Crains de ne plus sentir, vide et devoir mourir.


29 août 2008

Fin de l'aube

    Elle est belle, belle,   

    Encore plus belle;
    Les narcisses-

    Elles même- le savent,
    Laissant à nues

 Leurs jalousie,
    Elles préfèrent 

    Regarder le ciel.

 
    Elle ; elle est mon tout- mais aussi l'inaccessible- ;
    Je me suis perdu dans les méandres de l'amour,
    Sans pouvoir pénétrer son cœur…
    Je me suis perdu dès que l’ai connu.
    Pour la vie jusqu'à la mort,
    Dans mes rêves elle me le promettait ;
    Je suis picoré d'un mal
    Dont l'antidote serais son âme.
 
    L'or de ses deux yeux coule
    À flot,
    Mon coeur est en dérive
    Telle
    menttirer que je meurs...
 
    Le flux des vagues…
    Sur mon corps…
    M’étouffent…

    Au début je ne voulais pas le mettre car c'est le premier poème que j'ai écris (et surtout que j'ai voulu garder). Il date de l'année de ma première, il y a environ une petite huitaine d'année. Pour tout dire je le trouves pas terrible (même nul), mais il y a une grand valeur a mes yeux (et puis comme cela sa me fait un poème de plus a mettre sur ce blog :) ). J'espère qu'il vous plaira tout de même (pensez à la personne qui compte le plus dans votre vie, je l'ai écris  dans cette état d'esprit)!   

28 août 2008

Souvenir



        Souvent pris au dépourvu ; lançant de leurs profondeurs -et laçant de leurs images-des impressions encrées dans le mensonge. En eux on voit des ombres virevoltant dans la Tête ; croyant qu’ils ne s’effaceront que dans leur fréquence de réminiscence. Ils tombent dans un flou qui prend le large voguant vers des horizons éhontés. Cette mascarade des temps Passés coule avec la vraisemblance de son histoire. Epanche ta pitié, je suis froid, vide de ces étincelles qui mettent le feu à l’émotion des mouchoirs. Il faut voir en eux que des virus de la Mémoire !


27 août 2008

L’écueil


A moi ! Mes sentiments porteurs voguent au zénith,
Ni ses yeux, ni sa peau ne peuvent m’en libérer;
Ne laissons pas, dans cet esprit désordonné
Envahir, dans un éclair, cette décharge subite.

Lavant ma mémoire des angoisses de mes cauchemars
Ah toi ! Qui a su voler la clef de mon cœur
Unis dans ma tête ; seul ! Il reste ma douleur
Revenant d’un monde où mon rêve n’est pas hasard

Eternité ! Debout ! Donne moi cette perle d’or.

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