Je crains de perdre l'envie (de fuir se qu’est-en moi).
L’étau
Le sang coule dans mon corps, l’aire effleure mes poumons ;
Eux qui songent a se souvenir de ces douleurs.
Résurgent ces peines! Ce péché nous le voulions!
Sombre ! De ne plus sentir le printemps en Hivers
Honte a moi : d’être dans les filets et les vers
Honte a moi de n’être plus que des émotions
Qui se nourrissent l’un de l’autre par leurs mouvements
Mimant ceux de la marée les soirs de pleines Lune ;
Bois flotté sillonnant le canions du désespoir !
Les verrous -une abîme ceinturant mes écarts-
Laisse le néant envahir l’esprit trituré ;
Cache se déshonneur avec un linceul noirs.