27 août 2008
L’écueil
A moi ! Mes sentiments
porteurs voguent au zénith,
Ni ses yeux, ni sa peau ne
peuvent m’en libérer;
Ne laissons pas, dans cet
esprit désordonné
Envahir, dans un éclair,
cette décharge subite.
Ah toi ! Qui a su voler
la clef de mon cœur
Unis dans ma tête ;
seul ! Il reste ma douleur
Revenant d’un monde où mon
rêve n’est pas hasard
Eternité ! Debout !
Donne moi cette perle d’or.
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