25 août 2008
un grand poème!!!
...
Je fuis, pâle, défait, hanté par mon linceul,
Ayant peur de mourir lorsque je couche seul.
Ceux sont les deux derniers vers du dernier tercet d'un poème que je ne me lasse pas de lire (et maintenant de me réciter) de Stéphane Mallarmé ("Angoisse"). Dans ce poème, il apparaît un thèmes très important pour Mallarmé : le néant ou la négation de soi. De plus il utilise des symboles "Baudelairien", comme la chevelure - oui, c'est vrai j'aime beaucoup la poésie de Charles Baudelaire-. C'est véritable plaisir.
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